Nova'Dyn
> Réservation conseillée (places limitées) <
Les thèmes abordés pour le Samedi 25 avril 2015 :
– La santé Ortho-moléculaire proposé, par le Docteur Crusol.
– Les maladies du tube digestif, proposé par le Professeur Moreau.
– Les bienfaits de la purge et du jeûne, proposé par Delphine Blondy.
– Savoir penser à l’endroit pour éviter les maladies et pour se guérir radicalement et naturellement, proposé par le Professeur Jauvais.
Et débat avec le Professeur Jauvais.
Informations et réservations : Jessica au 06 31 68 43 62
Introduction de la conférence/débat à Anglet du samedi 31 janvier 2015 par le professeur Grégoire JAUVAIS.
Conférences proposées par
la Faculté Libre de Naturopathie et par la Faculté Libre de Psycho-Pathologie Clinique UCSHE (ex ULBAB).
“Qu’est-ce que la vraie naturopathie ?” – 58 minutes
Cours sous forme de conférences-débats, seront proposés à tous pour traiter divers sujets sur la Santé.
Lieu : ANGLET
Prochaine date : samedi 31 janvier 2015
Réservation conseillée
Conférences proposées par
la Faculté Libre de Naturopathie et par la Faculté Libre de Psycho-Pathologie Clinique UCSHE (ex ULBAB)
Animés par le Professeur Grégoire JAUVAIS, Marie-Claire Moreau et Delphine Blondy.
Nous sommes très souvent préoccupés par des questions concernant la Santé :
Qu’est-ce qu’un organisme en bonne santé ?
Comment apparaissent les maladies ?
Quels sont les signaux d’alarme ?
Que signifient-ils ?
Comment se soigner naturellement ?
Pourquoi s’occuper soi-même de sa santé ?
Comment éliminer le stress, source de diverses maladies ?
Importance de l’attitude mentale dans les cas de maladies ou pour s’en prémunir.
Importance de la pensée positive appliquée sous hypnose.
Comment se délivrer naturellement des addictions (tabac, boulimie, …) ?
Divers sujets sur la santé seront abordés entre autres :
Qu’est-ce que la vraie naturopathie ?
Les véritables causes des maladies organiques et des surcharges corporelles.
Se soigner naturellement.
Prévenir les maladies.
Apprendre à se prendre en main et se sentir responsable de sa santé.
Acquérir et conserver la santé, le bien-être physique et mental, renforcer ses défenses naturelles et être toujours en forme et plus performant.
Une bonne hygiène de vie pour éviter les maladies.
Savoir quoi manger pour être en bonne santé, mince et rester jeune.
Lors du débat chacun pourra poser des questions d’ordre général sur les sujets traités.
En savoir plus : information et réservation, cliquez ici.
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A tout de suite…
♦ LES QUATRE ALIMENTS DEVITALISANTS, ETIO-MORBIDO-PATHOGENES.
Le Docteur P. Carton, qui fut un grand hygiéniste et un des pionniers de la diététique, attirait l’attention de tous sur les méfaits de trois aliments dévitalisés que sont le sel blanc (lavé), le sucre blanc (raffiné) et le pain blanc (bluté). Il affirmait, avec juste raison, que ces trois aliments, déminéralisés, dévitalisés et dédiastasés, étaient responsables de notre déchéance digestive et de l’arthritisation de notre race.
1° Le sel blanc, privé non seulement de son magnésium mais aussi de ses autres oligo-éléments, n’apporte pas à l’organisme tous les minéraux de la mer.
Le sel gris, moins pauvre, reste — malgré tout — très incomplet. Le meilleur des « sels » de table est — sans conteste — l’eau de mer concentrée, du type « sérum marin », riche des quatre-vingt-quatorze éléments minéraux connus, y compris l’or. Mais la pollution des océans par tous les déchets industriels fait qu’il est difficile d’obtenir un sel de mer liquide, naturel, non toxique.
2° Le sucre blanc, tiré de la canne à sucre ou d’une autre plante sucrière, est, par des actions successives d’épuration mécanique et chimique, complètement dépourvu de vitamines et de sels minéraux. II présente, même,d’après certains auteurs, des traces de produits toxiques ayant servi à son raffinage.
Ce sucre blanc (et même roux), classique, est toujours un saccharose, qui surmène et épuise les appareils hépato-pancréatique et digestif. Mal stocké, mal transformé et mal brûlé, il prédispose aux maladies de déminéralisation et d’irritation des muqueuses et des glandes. L’alcoolisme par le sucre, l’éthylisme des bébés ou des vieilles personnes ne buvant pas une goutte d’alcool, mais faisant des excès de sucre ou de sucreries, est un fait bien analysé par le Docteur S. Gay.
Le meilleur des « sucres » est — sans conteste — le lévulose et le miel, lequel contient 50 % de ce sucre lévulosé, directement assimilable et utilisable par les muscles, produisant peu de déchets.
A ce sujet, voici ce qu’écrit le biologiste P.-V. Marchesseau :
« Les sucres blancs et roux, classiques, sont des sucres « déminéralisés », « dévitaminés », « dédiastasés », en un mot dévitalisés. Ils sont difficilement transformables en sucres organiques, se stockent très mal dans le foie et sont brûlés incomplètement dans les muscles (diabète). Par ailleurs, ces sucres favorisent l’éthylisme caché des gourmands, des vieilles femmes au foie sclérosé d’alcoolique. Les bébés, même, en sont victimes. Le meilleur des sucres pour la santé n’est pas le saccharose raffiné (sucre blanc), ni le sucre roux classique, qui reste un saccharose, mais les lévuloses, les sucres doux des fruits bien mûrs…, que les fourmis reconnaissent et qui coulent des pommes cuites au four sans ajout de sucre. Les lévuloses sont assimilables, éclatent dans le muscle, sans produire de déchets excessifs, et… favorisent la guérison des diabétiques parce qu’ils n’épuisent pas leur foie. Le miel naturel (non chauffé) contient du lévulose.»
3° Quant au pain blanc, bluté à mort (ainsi que toutes les farines), il est responsable de l’hémogliase, ou viscosité du sang, qui favorise la plupart des maladies du cœur, des veines et des artères, en particulier l’infarctus du myocarde qui tue plus que le cancer et est devenu l’ennemie numéro un de l’homme civilisé, sur-alimenté, sous-nourri, sur-asphyxié et sur-sédentarisé.
♦ Carton n’avait pas tort, et nous avons repris son qualificatif de « meurtrier » à propos de ces trois aliments dénaturés.
Cependant, il existe un quatrième aliment, tout aussi dangereux, et peut-être plus encore, nous voulons parler des graisses animales raffinées ou non et principalement des graisses cuites. Les graisses animales sont de digestion difficile, elles accroissent la viscosité sanguine et surmènent le foie (et le pancréas), en laissant des résidus dangereux comme le cholestérol usé venant des tissus via le foie pour y être détoxiqué. La vésicule biliaire en souffre beaucoup, surtout lorsque les glandes à mucine du duodénum sont dépotentialisées par suite de stress d’origine psychologique s’exprimant sur la base d’une alimentation habituellement anti-spécifique et dénaturée et d’un mode existentiel habituellement anti-biologique (tout aussi stressants).
Quant aux graisses cuites d’origine animale et d’origine végétale, elles sont toutes cancériniques. Elles libèrent, au cours de la surcuisson, par décomposition de la molécule grasse, des corps trans, des goudrons et des acroléines cancériniques par excellence (expériences faites sur des souris).
Les corps gras trans, et ceux de type margarine (partiellement ou totalement hydrogénés), quant à eux, sont encore plus athéro-sclérogènes que les corps gras saturés crus comme le beurre cru, par exemple.
La friture à l’huile ou au beurre ou, encore, à la graisse de cochon est à éliminer sans la moindre hésitation. Tout corps gras doit, toujours, être ingéré à l’état naturel, c’est-à-dire cru.
En éliminant ces quatre « aliments meurtriers » de son alimentation courante ou en réduisant de 50 à 80 % leur consommation habituelle, chacun peut espérer vivre en meilleure santé et durant de plus longues années.
Par le Professeur Grégoire JAUVAIS, M. D., Sc. D., Ph. D.[1]
[1] Voir sur ulbab.com les formations en Naturopathie dispensées par le Professeur G. JAUVAIS.
Et pour en savoir plus sur les propriétés physio-biologiques et les indications physio-thérapeutiques (et physio-esthétiques) des divers aliments humains, lire son Petit Dictionnaire des Aliments et des Nutriments Remèdes. Ou bien, encore, 100 % Anti-Régime. Editions Fortuna – Belgique.
Par le Professeur Grégoire JAUVAIS, M. D., Sc. D., Ph. D.
Les huîtres possèdent-elles une valeur alimentaire réelle ou seulement une valeur gustative flattant le palais de certains gourmets heureux d’apprécier en même temps un vin blanc réputé ?
VARIÉTÉS COMESTIBLES
Les deux espèces les plus connues sont :
— Ostrea Edulis, de forme plate, ovalaire, à valve inférieure convexe, à
valve supérieure plate (Cancale, Ostende, Marennes).
— Gryphaea Angulata ou huître portugaise, de forme irrégulière, anguleuse, avec une valve inférieure très creuse,
ÉLEVAGE
C’est au début du printemps que commence la reproduction des huîtres ; elle se prolonge jusqu’au mois de septembre.
Les huîtres comestibles sont élevées dans des parcs où arrive de l’eau non souillée.
La loi du 31 juillet 1923 indique que « seuls les établissements ostréicoles reconnus salubres peuvent expédier ou vendre directement des huîtres pour la consommation. »
Les marchands doivent s’interdire tout rafraîchissement des huîtres dans des eaux souillées.
Les huîtres doivent être vivantes.
Hors de l’eau, elles ne se conservent pas plus de huit jours.
« II convient de rejeter les huîtres qui ont une odeur douteuse, celles dont les valves restent entrouvertes, celles qui n’ont plus d’eau. Une bonne précaution à prendre, au moment de manger l’huître, est de piquer son manteau avec une fourchette ou un couteau ou de faire tomber sur lui quelques gouttes de jus de citron ; si l’animal est vivant, il se rétracte immédiatement. » (M. Jean Blain.)
LES INTOXICATIONS ET INFECTIONS PAR LES HUITRES
Les huîtres élevées dans des parcs souillés ou cueillies dans des lieux exposés à des contaminations (déjections humaines), puis vendues par des amateurs (en saison estivale, dans les régions maritimes) sont de redoutables ennemies capables de déterminer, aussi facilement que les moules, des intoxications graves, voire mortelles (ictères graves, septicémie aiguë).
La substance toxique agissant dans l’organisme serait l’ostréotoxine.
Placées au contact d’une seule huître souillée, les huîtres saines peuvent
être infectées immédiatement.
Des typhoïdes, des paratyphoïdes, des furonculoses, certaines diarrhées d’été, etc., sont dues à la consommation d’huîtres polluées.
Des phénomènes d’intolérances (dits allergiques) : urticaire, érythrose faciale, diverses éruptions, prurit, migraines, nausées, voire vertiges peuvent se produire, qui signent une intoxication hépatique.
Ces troubles n’excluent pas les dérangements gastriques, hépatiques ou intestinaux.
COMPOSITION
Voici, d’après J. Kœnig, la composition chimique de l’huître :
Eau ………………………………………………… 80,52 %
Matières azotées………………………………. 9,04 %
Matières grasses………………………………. 2,04 %
Matières non azotées……………………….. 6,44 %
Sels minéraux………………………………….. 1,96 %
Il faut noter la présence de sels minéraux assimilables : sodium, phosphore, soufre, fer, cuivre et surtout zinc et iode, et de vitamines naturelles (A, B1, B2, C, D, PP).
VALEUR ALIMENTAIRE ET DIÉTÉTIQUE
L’huître n’apporte pas à l’organisme que des sels minéraux, des vitamines et des protides, mais aussi des hormones mâles lorsqu’elles sont bien grasses (laiteuses), hormones mâles qui nous font de plus en plus défaut à mesure que nous avançons en âge et qui sont anabolisantes, dynamisantes (anti-fatigue), notamment.
De plus, l’huître stimule l’appétit des personnes qui l’apprécient.
Certains enfants pâles, nerveux, d’appétit capricieux, absorberont de temps à autre quelques huîtres (avec ou sans jus de citron) ; la vitamine C aidera à combattre leur asthénie. Ces crustacés remplacent alors fort avantageusement l’huile de foie de morue.
Néanmoins, il faut se garder de l’excès ; on peut fort bien consommer
d’autres aliments qui contiennent autant de vitamines et de minéraux et qui
coûtent moins cher que les huîtres.
L’huître est un aliment de gourmet, mais c’est aussi un aliment remède naturel iodé susceptible de stimuler l’organisme d’un anémique, d’un anorexique, d’un lymphatique, d’un asthénique, à condition qu’elle soit vivante, très saine, très fraîche et bien mâchée dans la bouche. Il ne faut surtout pas l’avaler vivante, comme le font beaucoup de gens, sinon, pour se défendre, elle sécrète un poison hépato-pathogène à l’origine de troubles digestifs attribués à d’autres causes.
Professeur G. JAUVAIS
Pour en savoir plus, lire mon Petit dictionnaire des aliments et des nutriments remèdes. Editions Fortuna – Belgique.
Pour les personnes de la région de DAX (40100), l’équipe vous invite à :
une animation exceptionnelle des produits Nova’dyn qui aura lieu :
Samedi 16 novembre 2013, de 10h30 à 18h
au Magasin BIO D’ACQS
25, avenue du sablar – 40100 DAX
Tél: 05 58 58 10 93
Venez nombreux !
Par le Professeur Grégoire JAUVAIS, M. D., Sc. D., Ph. D.
Depuis déjà quelques années, une propagande heureuse en faveur de la consommation de l’orange a trouvé place dans la plupart des revues françaises à grand tirage. Grâce à ses lectures hebdomadaires, chaque Français n’ignore plus désormais que l’orange peut lui fournir, sous une forme agréable, sa ration nécessaire de vitamine C naturelle. C’est là, en effet, l’une des principales ressources de l’orange et l’on a raison de la mettre tout particulièrement en valeur. Cependant, l’orange est capable de nous apporter d’autres principes vitaux que la vitamine C (et autres vitamines). C’est, en effet, un de ces aliments spécifiques (humains) qui, à eux seuls, pourraient presque assurer l’alimentation d’un individu et dont la consommation intensive joue un rôle important dans la prévention, voire même la guérison, lors de certaines affections.
Cette valeur nutritive, outre les protéines végétales que contient l’orange, tient surtout à des vitamines, à des sels minéraux, à des enzymes, à sa radio-vitalité caractérisée, partiellement, par son agréable odeur.
L’ORANGE, RÉSERVOIR DE VITAMINES
L’orange possède, également, trois vitamines du groupe B : B1 (aneurine), B2 (riboflavine) et PP (amine nicotinique), et de la pro-vitamine A. Cependant, la vitamine C demeure la plus importante parce que c’est dans les agrumes qu’on la trouve à plus forte concentration et sous sa forme la plus aisément consommable.
IMPORTANCE DE LA VITAMINE C NATURELLE
Bien qu’existant, à des concentrations différentes, dans tous les tissus animaux et végétaux, la vitamine C ou acide ascorbique n’est pas élaborée par l’organisme animal. Il est donc indispensable de la lui fournir de l’extérieur, si l’on veut éviter les troubles découlant de sa carence. Or, parmi les agrumes, qui sont les végétaux les plus riches en acide ascorbique, l’orange est, avec le citron (de consommation réduite à cause de son excès d’acidité), le seul qu’on puisse manger n’importe où, à n’importe quel moment de l’année. L’orange est le fruit susceptible de nous apporter le plus commodément notre dose quotidienne de vitamines C.
Nous n’insisterons pas sur les propriétés bien connues de cette vitamine qui est une des dix ou douze absolument indispensables au bon fonctionnement de la machine humaine. Nous soulignerons par contre quelques activités moins classiques et plus récemment découvertes de l’acide ascorbique.
A) ACTION ANTISCORBUTIQUE DE LA VITAMINE C NATURELLE
On a appelé, à juste titre, la vitamine C : vitamine antiscorbutique. Son absence provoque, en effet, une terrible maladie de carence qu’on appelle scorbut. Cette affection, qui avait pratiquement disparu du monde civilisé, a connu une recrudescence pendant la seconde guerre mondiale, dans les camps de concentration et les camps de prisonniers.
Elle se caractérise, au début, par une fatigue progressive accompagnée de douleurs dans les muscles et les articulations. Puis surviennent tuméfactions, ulcérations et hémorragies des gencives, rendant toute mastication impossible. Bientôt, apparaissent des ecchymoses et des tumeurs sanguines sur les membres. A la période terminale, les dents se déchaussent et tombent, les gencives fondent littéralement, cependant que s’installent de grands œdèmes et que le malade, dans un état d’anémie extrême, s’achemine lentement vers la mort.
A côté de cette maladie exceptionnellement grave (et que nous n’avons fort heureusement plus revu depuis la dernière guerremondiale) existent des affections dites para-scorbutiques caractérisées par de l’anémie, des stomatites, des gingivites, des caries dentaires. Tous ces symptômes qu’on aurait tort de négliger, sont également dus essentiellement à une carence en vitamine C. Certaines formes de purpura (tendance à de petites hémorragies sous-cutanées) reconnaissent aussi la même origine. La vitamine C naturelle a donc un rôle anti-anémique et anti-hémorragique. Elle joue, de plus, un rôle certain dans l’entretien de la peau et des muqueuses. Sa présence en grande quantité aide à la cicatrisation des tissus lésés et sert à éviter cette décrépitude du visage qu’on nomme rides. La consommation régulière de l’orange vous assurera donc l’entretien de vos gencives, de vos dents, une bonne circulation capillaire et un aspect jeune et sain de votre peau, à condition qu’elle soit très très mûre et très saines.
B) AUTRES RÔLES DE LA VITAMINE C
Chez les enfants, la vitamine C naturelle est particulièrement indiquée dans les cas de retard de la poussée dentaire et de retard à la marche. A titre moindre que la vitamine A, elle est une vitamine de croissance. En synergie avec la vitamine D3 naturelle, elle joue un rôle dans la fixation du calcium. On conçoit donc l’importance de l’orange dans l’alimentation des tout-petits.
Enfin, la vitamine C naturelle a une action très importante dans la prévention des maladies contagieuses par suite d’un renforcement des défenses naturelles, de la vitalité. En période de grippe, faites des cures intensives d’oranges bien mûres : mieux que des antiseptiques chimiques, que les vaccins, que l’aspirine, par exemple, l’orange vous aidera à éviter l’épidémie, qui n’affecte que les personnes dont le terrain est malsain, donc dévitalisé.
L’ORANGE CONTIENT ENCORE D’AUTRES VITAMINES
Nous avons signalé précédemment que les vitamines naturelles A, B1, B2 et B3 (ex PP) se trouvent également dans l’orange.
La vitamine A naturelle, vitamine de croissance, existe dans toutes les protéines ; la pulpe de l’orange en contient donc. De plus, elle existe en quantité intéressante dans une partie de l’orange qu’on a tort de négliger : le zeste qui contient du carotène riche en vitamines A. Si l’amertume du zeste le rend, tel que, impropre à la consommation, il est facile de le passer à la centrifugeuse avec la chair de l’orange, si celle-ci est agro-biologique. En plus de son action de base dans le développement du corps, la vitamine A naturelle possède, comme la vitamine C naturelle (avec laquelle elle agit synergiquement), une action anti-infectieuse. Enfin, elle joue un rôle non négligeable contre l’hypertension artérielle, notamment.
Les trois vitamines du groupe B font de l’orange un produit aidant à l’assimilation des hydrates de carbone ; évitant les affections des muqueuses (une conjonctivite rétrocèdera à l’administration de quelques gouttes de jus d’orange bien mûre tous les matins dans l’œil) ; évitant également les intoxications, tant endogènes (diabète surtout) qu’exogènes.
L’ORANGE NE CONTIENT PAS QUE DES VITAMINES
La valeur nutritive de l’orange est loin de se limiter aux seules vitamines. Quelque important que soit leur rôle, il ne saurait effacer celui des nombreuses enzymes, acides aminés (glutathion en particulier) et sels minéraux organiques (fer surtout) que contient l’orange. Eux aussi ont une action capitale dans l’assimilation et la fixation des principes utiles au bon fonctionnement de l’organisme.
De plus, l’orange ne saurait être assimilée à un complexe de bio-catalyseur. Elle a également, sur le plan alimentaire, une valeur énergétique et une valeur plastique. Sa valeur énergétique (ou calorique), biologique, est due, surtout, à la grande quantité de sucre biologique qu’elle contient. Ce sucre naturel est rendu facilement assimilable par la présence des vitamines du groupe B. Sa valeur plastique, non négligeable, vient surtout des protéines végétales qui forment la chair du fruit et de la pectine.
L’ORANGE EST UN ALIMENT QUASI COMPLET
L’ensemble de ces qualités nutritives fait de l’orange saine, fraîche, bien mûre un produit d’une haute valeurnutrimentaire. En fait, elle présente à peu près tous les principes indispensables habituellement à l’entretien d’un organisme humain. C’est à ce titre qu’on peut la considérer comme un aliment presque complet : sucres, protéines, enzymes, acides aminés, vitamines surtout s’y trouvent en abondance, sous une forme extrêmement concentrée. Si l’on songe, en effet, que la dose utile de vitamine C pour un adulte dans une journée est de 75 milligrammes et que 100 grammes d’oranges en contiennent de 5 à 10 centigrammes, on aura une idée de cette extraordinaire concentration en principes actifs.
L’orange, jadis considérée comme une friandise (sa saveur exquise l’explique suffisamment), est en réalité un super-aliment d’une rare valeur. Sa présence quotidienne sur la table apparaît comme une nécessité dans une alimentation bien conçue, à condition, redisons-le, qu’elle soit très mûre, de culture biologique et de la bien mastiquer plutôt que de la boire sous forme de jus.
Un proverbe bouddhiste affirme que par où passe l’orange tout s’arrange. Certains ont affirmé, non sans raison, que l’orange est d’or le matin, d’argent à midi et de plomb le soir… C’est dire qu’il vaut mieux la consommer le matin en prenant soin de la bien mastiquer, non en l’ingérant sous forme de jus qui agresse le tube digestif, induisant ainsi des troubles, perçus ou non, mais bien réels.
Contre-indications de l’orange : il faut se méfier de l’orange lorsqu’on est affecté d’acidose tissulaire, d’arthrite rhumatoïde, d’arthrose, de décalcification, d’ostéoporose, lorsqu’on est sous-vital, frileux, nerveux, sujet à de fréquentes céphalées… Cela est dû à son acidité excessive pour ces états organiques.
Professeur G. JAUVAIS
(Fondateur de l’Université libre de Bayonne-Anglet-Biarritz, qui dispense des cours de Naturopathie dont la bio-nutrition fait partie intégrante. Voir le site : www.ulbab.com. Et pour en savoir plus sur les propriétés physio-biologiques et les indications physio-thérapeutiques (et physio-esthétiques) des divers aliments humains, lire son Petit Dictionnaire des Aliments et des Nutriments-Remèdes, et son livre : Que manger pour être en bonne santé, mince et rester jeune (Editions Fortuna – Belgique).
METHODES DE SANTE DU BIOLOGISTE
P. V. MARCHESSEAU, M. D., Sc. D., Ph. D.
QU’EST-CE QUE LE CALCIUM ?
Le calcium (ou chaux) est une substance minérale indispensable à l’organisme pour assurer sa croissance, former ses os, ses dents et maintenir les réserves protectrices des tissus et des humeurs (sang et lymphe).
On peut dire que 90 % du calcium organique se trouve dans les os (squelette) où il se tient en réserve pour lutter contre les déséquilibres dus aux régimes mal composés.
Il faut retenir que la ration alimentaire doit apporter globalement un gramme de calcium par jour. C’est peu, mais c’est aussi beaucoup lorsqu’on sait que ce calcium doit avoir des vertus spéciales pour être assimilé, qu’il ne doit pas disparaître dans un gouffre intestinal trop acide et qu’il a besoin, malgré tout, d’acide phosphorique pour être fixé. Trop d’acidité et le calcium est perdu pour l’organisme, trop d’alcalinité et le calcium ne peut pas être fixé, il est également perdu pour l’organisme.
RÔLES DU CALCIUM
II assure quatre grandes fonctions dans l’organisme :
1° II contribue à la formation et au développement du squelette. La carence en calcium est une des causes du rachitisme chez l’enfant et de la déminéralisation de l’adulte et du vieillard (sénilité).
2° II freine l’excitabilité des systèmes nerveux et musculaire. Lorsque le chiffre sanguin du calcium tombe au-dessous de 100 milligrammes par litre, le nervosisme fait son apparition avec crises de larmes, d’excitation et, sur le plan musculaire, on voit se manifester les crampes, les contractures et les crises appelées tétanies.
N. B. — Pour éviter ce déséquilibre dangereux, le sang — pour maintenir ses réserves calciques — puise largement dans les os et les dents. Voilà pourquoi à un certain âge, on souffre du dos, des vertèbres, qu’on se « décalcifie » et qu’on perd ses dents.
3° II soutient le cœur. L’excès de potassium semble fatiguer le cœur, par contre le calcium tonifie cet organe. Le chiffre du rythme cardiaque dépend de l’équilibre calcium-potassium. Les cœurs forts sont les cœurs lents, et les cœurs lents sont des tissus riches en calcium.
4° Enfin, il assure la coagulation du sang en cas d’accidents. Sans lui, les plaies saigneraient toujours.
MÉCANISME DE L’ABSORPTION
Le calcium alimentaire subit diverses réactions au cours des digestions, qui assurent son assimilation ou sa non-assimilation.
Au niveau de l’estomac, l’acide chlorhydrique de la sécrétion libère le calcium de ses combinaisons alimentaires et le transforme en chlorure de calcium et en phosphate de calcium (ou de chaux) directement assimilables.
Il faut bien se rappeler que le calcium a besoin d’acides organiques pour trouver sa voie vers les tissus. Mais si le milieu intestinal est trop acide, il est entraîné dans cette lutte générale contre l’acidisme, et ne profite pas à l’organisme qui ne pense qu’à neutraliser à tout prix ses excès d’acides.
Par contre, retenons bien, également, que l’alcalinité exagérée du milieu intestinal prive le calcium du moyen de se « recomposer » en sels assimilables. On constate que beaucoup de calcium se retrouve dans les selles. Il est, ainsi, perdu pour l’organisme. Vouloir se recalcifier sans se préoccuper de l’équilibre acido-basique de l’intestin est une grave erreur thérapeutique en diéto-nutrition. Ce n’est pas la quantité de calcium ingéré qui compte, mais tout d’abord sa qualité (il le faut vivant, vibrant, biologique, assimilable, comme le dit, si justement, mon ami le Professeur Grégoire JAUVAIS) et, ensuite, la façon dont il va être transformé dans le milieu intestinal.
En résumé, le viandisme (abus des viandes) nuit à l’assimilation du calcium, tout comme l’amidonisme (abus des « farineux »).
Les fixateurs du calcium sont le phosphore et la vitamine D.
Pavlov a montré qu’un animal porteur d’une fistule biliaire, et perdant sa bile, se déminéralisait, parce qu’il élimine un élément appelé : phosphatase (une enzyme contenue dans la bile) et qui sert à transformer les carbonates calciques alimentaires en phosphates calciques organiques, assimilables.
Sans phosphore, aucune possibilité pour le calcium de se fixer. Sans acide chlorhydrique, sans acide phosphorique, pas de métabolisme du calcium qui est rejeté par l’intestin (selles) et ne sert à rien malgré toutes les fortes doses ingérées.
La vitamine D naturelle, qui se trouve dans les aliments tels que le lait cru, le beurre cru, les œufs crus, etc., et se fixe au niveau de la peau en partant des rayons solaires (transformant le cholestérol cutané) est une vitamine indispensable pour fixer le calcium.
Quelques gouttes d’huile de foie de morue ou, mieux, de flétan, bien administrées, avec exposition du corps nu au soleil (ou à défaut aux rayons ultra-violets en cabine de bronzage), peuvent aider à se guérir, même d’un rachitisme.
LES ENNEMIS DU CALCIUM
1° Un régime trop pauvre en phosphore et en acides organiques.
2° Une carence en vitamine D naturelle et une peau privée de radiations solaires.
3° Un milieu intestinal trop acide (acidisme) ou trop alcalin.
A ce sujet, signalons que les végétariens et céréaliens sont souvent des déminéralisés et qu’ils fixent difficilement leur calcium.
Voici les grandes erreurs à éviter :
A) Les aliments hyper acides dangereux.
Trop de viandes, et de viandes grasses et lourdes : porc, lard, gibier ; trop de graisses saturées et/ou trans : margarine, huiles, fritures, beurre rissolé ; trop de faux sucres et de « farineux », d’acide lactique : bonbons, pâtisserie, etc. ; trop de fruits acides : groseille, cassis, fraise, tomate et autres fruits non mûrs ; trop de légumes acides tels que les épinards, l’oseille dont les acides précipitent le calcium sous forme de sels résiduels appelés oxalates. Bien entendu, toutes les boissons acidifiantes (vinaigre, citron, limonade à l’acide citrique, jus de fruits acides, vins blancs, alcool, petits vins acides locaux, etc.) et les médicaments tels que les chlorures sont à éviter. A cela, il faut ajouter les erreurs de vie, habituelles, à savoir le surmenage, l’énervation, les chocs (stress) psychologiques, l’anxiété, les excès sportifs ou de sédentarité et le manque de sommeil.
B) Les aliments hyperalcalins dangereux.
L’abus des végétaux cuits à l’étouffée (erreur de croire que l’excès de minéraux recalcifie nécessairement) ; danger des régimes exclusifs tels que le végétalisme, le fruitisme, le céréalisme : abus des céréales (farine, pain complet) ou excès de féculents (et autres « farineux »), qui provoquent des fermentations intestinales et une alcalinité trop élevée dans l’intestin, qui empêche la fixation du calcium.
Les boissons alcalines en cours des repas neutralisent les acides gastrique et chlorhydrique : eaux de Vichy et bicarbonatées sont des eaux décalcifiantes.
«Il faut éviter, enfin, la sédentarité (inactivité musculaire), l’abus du soleil, le manque de sommeil, la sous-oxygénation.
RÈGLES DE VIE POUR SE RÉCALCIFIER
1° Régime équilibré avec pour bases : fromage blanc humanisé ou bio-disponibilisé (selon la méthode du professeur G. JAUVAIS), légumes verts, fruits très mûrs et jaune d’œuf de poules saines.
2° Activité physique modérée et vrai sommeil réparateur de huit à neuf heures (minimum) par nuit.
3° Vie au grand air et au soleil, mais sans exposition systématique (nuisible et dangereuse).
4° Vie intellectuelle active mais sans surmenage, suivie de détente (relaxation). Recherche de saines distractions.
5° Haute moralité, culture d’un idéal et lutte contre la contrainte et l’automatisme du travail (sans joie).
6° Repositivation mentale, selon les conceptions ortho-psychologiques du Professeur G. JAUVAIS, découvreur du mécanisme du Penser holistique, qui explique très clairement les effets de nos sentiments sur notre soma (l’organique) ([1]).
N. B. — L’école sans plaisir est un facteur de déminéralisation pour l’enfant. C’est démontrer l’importance capitale de notre attitude mentale sur notre santé, attitude si souvent oubliée par nos semblables et, à commencer, par les médecins allopathes.
Note : le Professeur G. JAUVAIS écrit ceci à propos de l’ostéoporose que l’on considère classiquement comme une maladie de décalcification : « l’ostéoporose ne peut s’améliorer uniquement avec du calcium naturel (bio-disponible) parce qu’elle est une affection primitivement protéique et secondairement calcique. C’est une maladie d’altération profonde de la trame protéique sur laquelle se fixe, habituellement, le calcium assimilé. Pour refaire cette trame, il faut trois facteurs essentiels : 1°/ la consommation de protides crus, 2°/ la consommation de végétaux crus, spéciaux, lacto-fermentés en anaérobie, qui aident à libérer la testostérone (anabolisante) prisonnière de la Sex Binding Globuline du sang et à augmenter, en même temps, le taux des hormones mâles (testostérone chez l’homme et progestérone- testostérone chez la femme), 3°/ la prise régulière de calcium et surtout de silicium, organiques ». (Voir son article traitant de ce sujet).
Par une vie sage et bien comprise, on peut éviter les carences calciques qui conditionnent beaucoup de maladies aiguës et chroniques (rachitisme, scolioses, caries dentaires, tuberculose, rhumatismes, mal au dos, etc.).
Professeur P. V. MARCHESSEAU
([1]) Lire son livre : « La Bible du Succès », qui apprend à penser à l’endroit. Editions Dangles. Groupe PIKTOS. France. Lire aussi son livre : Que manger pour être jeune, mince et en bonne santé (Editions Fortuna – Belgique).
Par le Professeur Grégoire JAUVAIS, M. D., Sc. D., Ph. D.
Aucune maladie non accidentelle ne peut être éliminée sans désintoxication profonde de l’organisme et, ensuite, sans une alimentation 100 % spécifique et naturelle.
Il est donc capital de s’épurer avant de se revitaliser, sinon les revitalisants, aussi bons soient-ils, resteront sans effet ou n’auront que de faibles effets positifs.
Toutefois, il faut savoir que la désintoxication naturelle de l’organisme use beaucoup d’énergie. Il est donc indispensable de fournir à l’organisme un maximum d’éléments bio-énergisants (et non encrassants) permettant d’optimiser le fonctionnement de ses mitochondries, sorte de centrales bio-énergétiques qui participent à la fabrication de l’ATP (Adénosine Tri-Phosphate), le carburant bio-énergétique des métabolismes.
6 jours après hydro-solubilisation ortho-biologique (HSOB) des huiles essentielles riches en terpènes, ces derniers fixent l’oxygène de l’eau spéciale dans laquelle les huiles essentielles ont été solubilisées et dégagent, conséquemment, du super oxygène, c’est-à-dire de l’ozone pur qui contribue à la désintoxication et à la régénération de l’organisme. Simultanément, les huiles essentielles HSOB favorisent, également, l’énergisation des mitochondries, compte tenu qu’elles sont fabriquées par le végétal aromatique à partir de l’énergie solaire et qu’elles portent en elles cette énergie.
Contrairement aux huiles essentielles classiques (non HSOB), les huiles essentielles HSOB sont assimilables (et non iatrogéniques) aux doses adéquates non seulement lorsqu’on les incorpore par voie buccale mais aussi par voies cutanée et respiratoire. En friction ou en massage sur la région lombaire, au niveau des glandes surrénales, elles aident à dynamiser celles-ci et, donc, à augmenter les défenses organiques, dont la défaillance favorise les infections, notamment.
Différence entre aromathérapie classique et vitaromathérapie.
Nous attirons votre attention sur le fait que les huiles essentielles (H.E.) et autres essences végétales commercialisées sous l’appellation « 100 % pures et naturelles », sont, toutes, plus ou moins, biologiquement, toxiques et iatrogènes (cause d’altérations organiques) parce que, dans cet état, elles sont, en vérité, biologiquement, dénaturées par suite de la distillation des plantes dont elles sont extraites. Il en est de même des essences extraites par simple expression de certains citrus. Ce sont des essences de réserves, inassimilables en l’état par les végétaux qui les produisent et donc inassimilables par l’humain.
Il faut, en effet, vouloir comprendre et savoir que, dans le végétal vivant, en terre, l’essence biologiquement utilisable par celui-ci se trouve être à l’état de solution hydrique, bio-ionisée, donc bio-ionisante, assimilable (bio-disponible), vitalo-protectrice (bio-énergisante).
Il faut, également, savoir que la distillation des H.E. (que ce soit à la vapeur d’eau ou par tout autre moyen) a pour conséquence de scinder en deux la molécule essence-eau (la pile mâle-femelle), de déshydrater l’H.E. originelle, de la séparer de son eau de constitution, ce qui a pour effet de la polymériser, de changer sa fréquence vibratoire originelle (biologique) et, conséquemment, de fermer (bloquer) le circuit bio-électro-magnétique général (les transferts ioniques, bio-énergétiques).
Résultat : la molécule d’H.E., de type électrique (force centripète), privée de son eau de constitution, de son partenaire aqueux complémentaire, de type magnétique (force centrifuge), n’est plus bio-ionisante, biologiquement assimilable, utilisable par l’organisme, par suite de la « fermeture » du circuit dit « électrique » (du changement anortho-biologique de la fréquence vibratoire). Elle est, ainsi, devenue un poison. C’est pour cette raison que toutes les H.E., classiques, déshydratées, sont plus ou moins anti-biotiques (anti-vie), en laboratoire (dans les boîtes de Pétri).
Ingérées (absorbées par la bouche) sous cette forme biologiquement dénaturée, « électriquement » bloquée, elles irritent et, même, ulcèrent le parenchyme hépatique, intestinal, rénal, entraînant de nombreuses micro-lésions, plus ou moins graves selon leur nature (plus ou moins bio-électroniquement oxydantes).
Chez l’animal d’expérience, en laboratoires, les H.E. majeures, même diluées avec d’autres essences végétales mineures dites 100 % pures et naturelles, administrées par voie buccale, sous la forme classique (déshydratée), ont systématiquement provoqué de véritables infarctus mésentériques, accompagnés de micros hémorragies multiples à ce niveau, de même qu’au foie, aux reins, au cerveau, entraînant, progressivement, la mort de tous les animaux.
En revanche, il s’avère que les mêmes H.E. ou essences végétales, ingérées aux mêmes doses, cessent d’être toxiques et iatrogènes sept jours après avoir été ortho-biologiquement hydro-solubilisées (re-naturées, ré-hydratées), c’est-à-dire replacées dans leur état originel (sous forme d’une solution) qui est un état biologique, bio-ionisant, c’est-à-dire un état à circuit « électrique » ouvert, libérateur d’ions négatifs actifs, vitalo-protecteurs (solution bio-électro-magnétique).
Produit hétéro-moléculaire à circuit « électrique » ouvert parce que constitué d’une force ondulatoire verticale de type électrique et centripète (fournie par l’H.E.) et d’une force ondulatoire horizontale de type magnétique et centrifuge (fournie par l’eau). C’est la forme sanitairement étio-thérapique, vitaromathérapique.
Pour cette raison, cette solution bio-électro-magnétique est biologiquement assimilable (c’est sous cette forme qu’elle existe dans le métabolisme du végétal vivant, en terre, à l’état naturel, ou en flacon mais à l’état biologiquement re-naturé selon la théorie et la technique de l’hydro-solubilisation ortho-biologique inventées par moi dans les années 1961).
Produit homo-moléculaire à circuit « électrique » fermé parce que dénué d’eau (de force vibratoire horizontale de type magnétique et centrifuge) et, donc, constitué uniquement d’H.E. (de force vibratoire verticale de type électrique et centripète). C’est la forme classique, non ionisée, non ionisante, sanitairement anti-symptomatique.
Pour cette raison, cette H.E. est biologiquement inassimilable (elle n’existe pas dans le circuit métabolique du végétal, en terre, mais seulement dans ses glandes de stockage, à l’état biologiquement « déshydraté », polymérisé, à l’exemple de notre glycogène, dans lesquelles glandes elle constitue une réserve énergique pour les périodes sans soleil).
On oublie ou on ignore qu’il ne peut y avoir d’ionisation (de transferts bio-énergétiques) sans eau, et que c’est l’eau qui fait les frais de toute ionisation et qui ouvre le circuit de type « électrique » générateur d’un champ bio-électro-magnétique, source de Force vitale (de bio-énergie).
L’hydro-solubilisation (ou re-naturation) ortho-biologique des H.E. a pour but et pour effet de dissoudre l’H.E. dans une eau spécialement et naturellement traitée et préparée à cet effet. Elle doit être effectuée biologiquement pour être biologiquement valable (a-toxique). En effet, elle doit être obtenue sans l’aide ni usage d’alcools, de solvants chimiques, d’émulgateurs artificiels, qui sont tous, biologiquement, plus ou moins toxiques, plus ou moins iatrogéniques. L’eau est vitale, métabolique, physio-biologique.
L’H.E. biologiquement hydro-solubilisée (re-naturée) se trouve, alors, être replacée comme dans son état originel, vital, comme dans le métabolisme du végétal qui l’a fabriquée pour ses propres besoins vitaux, c’est-à-dire sous la forme d’une solution.
Ce n’est que dans cet état re-naturé (biologiquement ré-hydraté) que la molécule d’H.E. est débloquée, assimilée, libérant, alors, sa puissance bio-énergisante, sa néguentropie (luminescence), selon les principes de la mécanique quantique ondulatoire. L’hydro-solubilisation a, effectivement, pour effet d’ouvrir le circuit bio-électro-magnétique, de libérer les ions bio-énergisants, inducteurs d’un champ bio-électro-magnétique infiniment plus puissant et plus efficace que celui de l’H.E. classique, dite 100 % pure et naturelle, et ceci à dose infiniment moindre.
En vérité, l’H.E. classique, dite, à tort, 100 % naturelle, est plus ou moins toxique, qu’on le veuille ou non, quelle que soit la voie par laquelle on l’introduit dans l’organisme (buccale, respiratoire, rectale, cutanée, intraveineuse, etc.), même si on la dilue préalablement dans l’eau après l’avoir mélangée soit dans de l’alcool, soit dans un solvant chimique, soit dans un émulgateur artificiel, l’usage de ces trois derniers produits étant artificiel, voire anti-biologique.
Il faut se revitaliser avec des Huiles Essentiels hydro-solubilisée.
Expérimentation :
L’ingestion d’essence (ou d’H.E.) classique (déshydratée), à l’état dit 100 % pur et naturel, entraîne des éructations, qui se prolongent tout au long de la journée, preuve que l’essence (l’H.E.) ne « passe pas », ne parvient pas à être digérée parce qu’elle bloque ou détruit les enzymes digestives. On imagine, sans peine, les dégâts qu’elle peut, ainsi, occasionner dans le tube digestif, notamment, quand il s’agit d’H.E. dites « majeures », comme l’origan, la cannelle, le girofle, le thym, etc., par exemple, sachant que la plupart d’entre elles « brûlent » (oxydent bio-électroniquement) plus ou moins.
L’ingestion d’essences (ou d’H.E.) à l’état biologiquement hydro-solubilisé (re-naturé) depuis plus de sept jours n’entraîne pas de tels désagréments et de tels dégâts (pertes bio-électroniques) parce qu’elles sont biologiquement et rapidement assimilables (bio-électroniquement réductrices).
Redisons-le, pour bien fixer les esprits, la molécule d’essence (ou d’H.E.) classique, à l’état dit 100 % pur et naturel (extraite du végétal) est un produit de réserve, bio-électroniquement bloqué, à l’exemple du glycogène organique, qui doit être transformé en glucose par addition d’une molécule d’eau pour être biologiquement assimilable. Même le végétal vivant, en terre, ne peut l’utiliser (l’assimiler) sous la forme « déshydratée », sous peine d’en mourir.
L’essence (ou l’H.E.) à l’état biologiquement ré-hydraté (uniquement Eau + Essence) est un produit biologique vitalo-protecteur, d’utilisation métabolique immédiate, parce que bio-électroniquement libéré, bio-disponible (assimilable), bio-réductrice.
La différence entre aromathérapie classique et vitaromathérapie (1) réside dans cette conception biologique nouvelle, propre à la vraie Naturopathie scientifique.
NOVA’DYN commercialise un complexe de 23 huiles essentielles biologiquement re-naturé selon ma méthode. Il s’agit du POLYVAROM. Produit sans colorants ni conservateurs chimiques. Le Polyvarom aide à augmenter la puissance du champ bio-électro-magnétique et, donc, la vitalité, l’activité et la réactivité de nos cellules. Il aide à renforcer et à dynamiser les immunités naturelles, l’auto-défense organique, la vitalité générale.
G. JAUVAIS
Pour en savoir plus, lisez l’un de mes livres : 100 % Anti-Régime (Editions Fortuna – Belgique).