Le spécialiste de l'aliment vivant du Pays-Basque
  

Les Huiles Essentielles (H.E.), classiques, extraites des végétaux aromatiques, sont utilisées par les Naturopathes par voie externe et par voie interne (en ingestion). Mais la presque totalité d’entre eux les utilise à l’état déshydraté, telles qu’elles sont après expression des zestes de citrus et/ou après distillation à la vapeur d’eau. C’est, précisément, dans cet état déshydraté qu’elles s’avèrent être toxiques, parce qu’inassimilables par voie interne.

En 1966, le Professeur Grégoire JAUVAIS, Docteur en Médecine, Docteur es Sciences (biologiste), Docteur en Naturopathie, a publié un petit livre de 160 pages, environ, intitulé : « Embaument vivant et auto-guérison par les essences de vé-gétaux aromatiques ». Dans cet ouvrage, à la page 66, il y fait clairement mention des Huiles Essentielles qui doivent être utilisées à l’état hydro-solubilisées (ortho-biologiquement), c’est-à-dire avec une eau spécialement traitée et des Huiles Essentielles, et avec rien d’autre. En effet, seules les Huiles Essentielles réhydratées (hydro-solubilisées ortho-biologiquement), donc sous forme d’une solution hydrique, peuvent-être assimilées par l’organisme humain, contrairement aux Huiles Essentielles classiques, déshydratées, dites « naturelles », parce qu’il ne peut pas y avoir de transfert bio-énergétique (d’ionisation) sans eau.

En effet, l’Huile Essentielle vraiment naturelle est celle qui a été réhydratée, reconstituée ortho-biologiquement sous forme d’une solution hydrique, bio-électro-magnétique, comme dans le végétal vivant, en terre.

Comme l’a expliqué le Professeur G. JAUVAIS, notamment dans sa thèse de Doctorat en Pharmacie, les végétaux aromatiques vivant en terre fabriquent de l’Huile Essentielle (H.E.) à partir de l’énergie solaire, notamment, grâce à leur photosynthèse et à leurs systèmes enzymatiques utilisant des champs quantiques froids, d’origine solaire, inducteurs de bio-catalyses, de réactions bio-chimiques. A ce moment là, l’Huile Essentielle dissoute dans la sève circulante, se présente sous la forme d’une solution hydrique, diffusable, assimilable, en fait sous la forme d’un complexe yang/yin (mâle/femelle), c’est-à-dire d’un complexe constitué d’un champ électrique (fourni par l’H.E.) et d’un champ magnétique (fourni par l’eau).

On peut dire, comme le Professeur G. JAUVAIS, que l’Huile Essentielle est, en quelque sorte, de l’énergie solaire à l’état liquide. Mais cette énergie ne peut être transférée à l’humain que si elle est dissoute dans l’eau, comme le sucre dans l’eau, car c’est, toujours, l’eau qui fait les frais de toute ionisation (transfert bio-énergétique). Je le redis pour bien fixer l’idée : il n’existe pas d’ionisation sans eau. L’eau et l’énergie qu’elle véhicule ne font qu’un, c’est-à-dire une solution dé-polymérisée, assimilable, bio-disponible, c’est-à-dire à circuit « électrique » ouvert, alors que l’Huile Essentielle classique, telle qu’on la trouve, généralement, dans les magasins, les pharmacies, sont à circuit électrique fermé, à l’état polymérisé, donc inassimilable. Dans cet état, elle ne peut être utilisée, éventuellement, que pour un usage externe.

Dans cet état polymérisé, déshydraté, l’Huile Essentielle est une essence de réserve, à l’exemple de notre glycogène, qui est du glucose (énergétique) à l’état déshydraté, donc polymérisé (à circuit électrique fermé). Si l’on ajoute, directement, dans le sang, ce glycogène, inassimilable, il devient un poison pour l’organisme. Il en est de même pour les Huiles Essentielles déshydratées (classiques).

Molécule d'Huile Essentielle en solution hydrique ouvert

Molécule d'Huile Essentielle classique fermé

L’erreur commise par la majorité des naturopathes (ou qui prétendent être des naturopathes), qui prennent pour biologiquement « bon » des Huiles Essentielles déshydratées, bio-in-disponibles, vient du fait d’une méconnaissance totale de la physiologie du végétal aromatique vivant en terre. Ils ont pris l‘Huile Essentielle de réserve (à circuit électrique fermé) pour une substance bio-disponible, non toxique, aux propriétés thérapeutiques purement anti-symptomatiques. Ils utilisent ce type d’Huile Essentielle pour leurs propriétés antibiotiques, notamment, faisant, ainsi, sans le savoir, de la médecine allopathique, anti-symptomatique. Les propriétés thérapeutiques des Huiles Essentielles ne devraient pas, logiquement, intéresser le vrai naturopathe, seules leurs propriétés psychologiques et biologiques ou physio-biologiques étant intéressantes pour aider à refaire de la santé naturelle. Un naturopathe qui utilise des Huiles Essentielles classiques, à l’état déshydraté, comme antibiotique, pour lutter contre les microbes, est un faux naturopathe, parce que les microbes sont des éboueurs, des mangeurs de la morbidité humorale, des opportunistes. Ils ne sont pas la cause des maladies dites infectieuses. C’est le terrain morbide du malade qui est la cause de leur développement, de leur prolifération ; et c’est le degré de virulence de la morbidité qui fait le degré de virulence du microbe dit pathogène. Et c’est cette morbidité (TSL physio-pathologique, physio-pathogène, terme inventé également par le Prof. G. JAUVAIS) qu’il faut éliminer par de sérieux drainages internes, du foie et de l’intestin, notamment, ce qui entraîne, automatiquement, une épuration humorale et, donc, cellulaire. En faisant cela, le microbe, privé de morbidité nourricière, disparaît de lui-même.

Huile Essentielle de réserve

Le Professeur Grégoire JAUVAIS a montré que la physiologie végétale est fonctionnellement inverse de celle de l’homme.

Le soleil pro-naturant de l’animal humain est à l’intérieur de lui-même, dans la positivité de son mental. Celui du végétal vivant (en terre) est à l’extérieur de lui dans le milieu cosmique, environnemental.

Pour parer à l’absence de soleil externe, énergisant, durant l’hiver, notamment, le végétal aromatique fabrique, enzymatiquement, de l’Huile Essentielle, qui est, en quelque sorte, un accumulateur d’énergie solaire à l’état liquide. Mais cette Huile Essentielle, dans un premier temps, se trouve être sous forme d’une solution dans laquelle l’Huile Essentielle et la sève (l’eau vitale de constitution) ne font qu’un seul élément diffusable, comme le café au lait ou le vin coupé d’eau, par exemple. Une partie de cette solution est, ensuite, « distillée » enzymatiquement par le végétal pour constituer de l’Huile Essentielle de réserve (pour les jours sans soleil). L’Huile Essentielle est, en effet, enzymatiquement séparée de la sève, donc déshydratée. La déshydrations entraîne la polymérisation de l’Huile Essentielle et, donc, la fermeture de son circuit bio-électrique.

L’Huile Essentielle ainsi déshydratée est, ensuite, stockée dans les glandes oléifères du végétal en terre, dans lesquelles l’organisme végétal puisera, durant les jours sans soleil, son énergie solaire stockée. Il effectue ce prélèvement en réhydratant (en hydro-solubilisant) les molécules d’Huile Essentielle prélevées.

L’animal humain fait de même avec son glycogène stocké dans son foie et ses muscles. L’addition d’une molécule d’eau au glycogène inassimilable en fait du glucose assimilable. Les processus sont tout à fait comparables.

Autrement dit, une Huile Essentielle végétale à l’état déshydraté, non hydro-solubilisée ortho-biologiquement, telle qu’on la trouve habituellement dans le commerce courant, est un produit inassimilable et, donc, toxique, de ce fait. On ne doit l’ingérer par voie buccale que si elle a été, préalablement, réhydratée, donc hydro-solubilisée ortho-biologiquement. C’est la réhydratation ortho-biologique de l’Huile Essentielle, son hydro-solubilisation (ortho-biologique), qui en fait un produit assimilable et, donc, biologiquement utilisable, non toxique, voire, même, anti-toxique, comme l’ont montré les expériences de laboratoire sur des têtards.

Hydro-solubilisation ortho-biologique des Huiles Essentielles

Par ortho-biologique il faut comprendre solubilisation ne faisant intervenir que de l’eau et de l’Huile Essentielle et surtout pas d’alcool, d’émulgateur artificiel, de solvant chimique. Ces trois derniers éléments sont anortho-biologiques, donc plus ou moins toxiques. L’alcool, par exemple, conserve ce qui est mort, mais tue ce qui est vivant. Il radio-dévitalise l’Huile Essentielle en altérant et en collapsant sa structure bio-électro-magnétique, comme l’ovalbumine crue d’un œuf plongé dans de l’eau bouillante, par exemple.

L’hydro-solubilisation ortho-biologique des Huiles Essentielles a été inventée par le Professeur Grégoire JAUVAIS, dans les années 1961-1962, déjà, invention qu’il a gardée secrète et qui n’est utilisée, actuellement, que par la Société NOVA’DYN, dans la fabrication de compléments nutritionnels de grande efficacité biologique, puisque fabriqués uniquement avec des substances crues naturellement conservées avec des Huiles Essentielles végétales, 100% pures et codifiées, hydro-solubilisées ortho-biologiquement, sachant que toutes les Huiles Essentielles sont, plus ou moins, antiseptiques, antiputrides.

Nous avons conservé un de ces produits, fabriqué en 1986, il y a, donc, 27 ans. Le produit est toujours intact, consommable.

L’invention, par le Professeur Grégoire JAUVAIS, de l’hydro-solubilisation ortho-biologique et de la théorie qui l’explique, théorie prouvée par les faits expérimentaux, a permis de créer la Vitaromathérapie (aromathérapie vitale) psychorganique (pouvant agir aussi bien sur le mental que sur le soma, selon la caractérologie vulgarisée par MAILHEBIAU), ce qui a suscité (et suscite toujours) la jalousie, féroce, des naturopathes ignorants refusant ce progrès scientifique, incontestable.

Ces faux naturopathes, qui se plaisent à cultiver leur ignorance, en sont, encore, à prescrire les Huiles Essentielles classiques (déshydratées) dans du miel ou dans des poudres de plantes en gélules ou sur des comprimés de poudres de plantes (ou autres), sur du sucre, dans des huiles, etc. Ils en sont, encore, à les diluer dans de l’alcool, dans des solvants chimiques, même si ceux-ci sont extraits de substances naturelles.

La seule chose acceptable pour l’organisme est l’Huile Essentielle dissoute dans l’eau, sans autre ingrédient non biologique. Les HE sont miscibles dans l’eau à condition de traiter spécialement les fréquences vibratoires de l’eau.

Ingérées sous forme classique, c’est-à-dire à l’état déshydraté (non hydro-solubilisées), les Huiles Essentielles, surtout celles dites « majeures » (corrosives), induisent des oxydations bio-électroniques, souvent irréversibles, des muqueuses endo-intestinale, rénale…, si fragiles. En effet, les expérimentations effectuées en laboratoire sur des rats WISTAR, par le Professeur G. JAUVAIS, notamment, ont prouvé que les Huiles Essentielles classiques, déshydratées, administrées par voie buccale à ces animaux, ont créé des infarctus mésentériques, hépatiques, rénaux et cérébraux, mortels, chez ces animaux, alors que les mêmes Huiles Essentielles mais hydro-solubilisées ortho-biologiquement, administrées de la même façon aux rats témoins, ont été assimilées correctement par ceux-ci sans entraîner leur mort, ni altération de leurs organes, de leur santé, ce qui prouve bien que l’Huile Essentielle classique (déshydratée), à circuit « électrique » fermé, est plus ou moins toxique, à cause de sa bio-in-disponibilité, alors que l’Huile Essentielle réhydratée, en fait biologiquement renaturée (sous forme d’une solution aqueuse), est bio-disponible et sans danger. Il s’agit là, incontestablement, d’une découverte scienti-fique sans précédent.

Il convient, donc, pour l’usage interne, d’abandonner l’aromathérapie classique, plus ou moins toxique, basée sur une méconnaissance scientifique de la biologie végétale et humaine, pour adopter la vitaromathérapie inventée par le Professeur Grégoire JAUVAIS, la seule qui puisse donner satisfaction aux usagers de cette technique naturopathique, n’en déplaise aux naturopathes incompétents qui portent un tort considérable à cette merveilleuse science de la santé naturelle qu’est la vraie naturopathie.

Professeur Henri CANAL, M.D., Ph. D.

Pour en savoir plus, lire l’un des nombreux livres du Professeur G. JAUVAIS : 100 % Anti-Régime (Editions Fortuna – Belgique).